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Mickaël Stones





I. Indentitée

Nom: Stones
Prénom(s): Mickaël
Surnom(s): Mick’
Date & lieu de naissance: Mickaël est née le 28 avril 1987, en Angleterre, ou plus précisément dans une petite ville non loin de Londres, entourée de champs et d’espace verts…
Âge : 22 ans
Nationalité & Origine : La nationalité de Mickaël est assez complexe. Né d’un père Anglais de souche et d’une mère Française, il est donc divisé entre ces deux pays, quoi que dans son cœur, il se considère toujours comme anglais.
Niveau : Quel est le niveau équestre de votre personnage ? Ses galops ?
Le niveau équestre de Mickaël ? Bien sûr, il ne pourrait pas se prétendre sans son monitorat. Il a bien entendu ses 9 galops, mais sa spécialisation première reste le dressage. Discipline qu’il connaît comme sa poche et qu’il pratique avec talent.


II Préférences & Goûts

Livre Favoris: Mickaël aime beaucoup la plupart des livres écrits par les grands maître de l’équitation. Mais en dehors de tous ces livres, il aime aussi s’évader dans des livres fantastique et traitant parfois de sujet important. Son préféré étant sans contestation Fahrenheit 451.
Style musical écouté: Mickaël est assez ouvert musicalement. Mais il préfère avant tout les chansons « à texte », aimant lorsque celles-ci racontent quelque chose ou dénonce. Pourquoi ? Lui seul les sait, et puis les goûts, ça ne se discute pas.
Chanson préférée:
Film préféré:
Ville & Pays préférés: Sa ville préféré reste avant tout Londres, sa ville natale de laquelle il ne peut pas vraiment se détacher… Mais en dehors de celle-ci, il apprécie particulièrement l’Allemagne, pays dans lequel il a aimé voyager.
Animal préféré: Le cheval, bien évidement, bien qu’il apprécie aussi chat et chiens
Plat préféré:
Saison favorite: printemps
Couleur préférée: Le bleu

Passion* : //


III Psychologie

Caractère: Mickaël à un caractère un peu spécial … En effet, il peu se révéler un jeune homme dynamique et jovial, et d’un seul coup sombrer dans la froideur et la morosité. Lunatique ? Oui sûrement beaucoup. Seul lui connaît la cause de ses sautes d’humeurs, et celles-ci peuvent parfois êtres violentes. Mais bizarrement, celles-ci ne se sont jamais produites alors qu’il montait ou était en présence d’un cheval. Coïncidence ? Peut être. En tout cas cela fait de lui quelqu’un d’assez difficile à cerner, chose qu’il vit plutôt bien et qui ne le gêne en rien du tout. Dans son travail de professeur, c’est la même chose, parfois calme et patient, parfois un brin disons … caractériel ? En effet cet amoureux du travail bien faite et perfectionniste à souhait ne supporte pas qu’on ne l’écoute pas et qu’on se fiche totalement de l’animal sur lequel on est assis. Dur et rude au travail, il a tendance à se ficher un peu de vous… Pensant un peu plus au cheval qu’à son cavalier. Si celui-ci va bien, on continue le travail, la perfection ça s’apprend, et le travail est la seule chose qui compte pour arriver à ce que l’on veut dans la vie. Etat d’esprit que le jeune homme se forgea depuis son plus jeune âge et qu’il traîne encore derrière lui aujourd’hui.
Mais si on apprend à le connaître un peu plus, à passer outre ses défauts et sa recherche de la perfection et du travail, Mickaël est quelqu’un de très agréable, bavard et protecteur, aimant et attentif aux autres. Il suffit juste qu’il s’intéresse un peu à vous et vous a lui. Mais cela n’est pas chose facile…
Plus grand défaut : Son plus grand défaut est avant tout son coté perfectionniste
Plus grande qualité : Sa plus grande qualité ? Humm. Son respect pour le cheval est une de des plus grandes. Mais avec les humains, sa qualité première est son sens de l’observation et sa compréhension face aux diverses problèmes que peuvent rencontrer ses cavaliers.
Peurs : La plus grande peur de Mickaël est sûrement de ne pas réussir. C’est peut être d’ailleurs pour cela qu’il travail tant ; pour se donner les moyens de réussir tout ce qu’il entreprend.
Désirs : Le plus grand désir de Mickaël était avant de posséder son propre élevage de chevaux de dressage… C’est chose faite. Maintenant, il souhaite avant tout voir celui-ci prospérer, ses produits se valoriser et son travail être récompensé.


IV Apparence

Allure générale: Grand ténébreux, c’est la première chose qui caractérise le mieux Mickaël. En effet, ces cheveux courts sont d’un noir impénétrable, à la même enseigne que ses sourcils peu fournis qui mettent en valeur ses yeux d’un vert profond. Un nez fin se place au milieu de son visage aux traits fins et tranchants. Sa bouche est petites et expressive alors qu’une légère barbe qu’il rase soigneusement pousse autour de celle-ci. Ses épaules sont larges et imposante, au même titre que le reste de son buste. Celui-ci est musculeux et son ossature plutôt large. Sa taille est assez fine et mène directement à des jambes musclées et légèrement arquées. Enfin ses pieds, parties de son corps la moins intéressant XD sont soignés à la même enseigne que ses mains. Ce corps soignés et à la fois carré inspire donc au première abord une certain respect, voire même une certaine peur face à une absence de douceur. Chose bien contradictoire avec son attitude envers les chevaux, attitude qui n’use en aucun cas de sa force.
Style vestimentaire: Le style vestimentaire de Mickaël se situe entre le décontracté et le branché. N’aimant pas vraiment se prendre la tête tous les matins pour s’habiller, il arbore bien souvent l’inépuisable jean. Pour le côté branché, il aime souvent harmoniser son jean avec une chemise noire ou blanche, qu’il laisse à demi ouverte. Pour chaussure il porte souvent basket ou chaussures de ville noires. Il apprécie aussi veste en cuirs ou autres vestes épaisses.
Lorsqu’il s’agit de monter à cheval, rien de tel que les éternels pantalons q’équitations en diverses coloris ? Le tout mis en valeur par un tee shirt souvent unis et des bottes d’un noir insolent.

Manies: Ces espèces de petits tics, de geste qui rend votre personnage si unique..


V Biographie

L'histoire du personnage: Tout commença un soir d’avril, alors que le ventre grossit de sa mère commençait à la faire souffrir dangereusement. Les neuf mois de la grossesse était bientôt atteint, l’arrivé du petit Mickaël était donc imminente. Son père, Luc Stones, emmena donc sa femme à l’hôpital. Couchée dans des draps blancs, entre des murs blancs et un sol tout aussi blanc, Myriam commença son travail. Après plusieurs heures d’efforts, le triomphe fut à la portée de ses espérances. Elle tenait dans ses bras le petit Mickaël qui hurlait. Trop de lumière, le froid qui lui piquait la peau avec une malice insoutenable… Mais elle, elle était là …
Mike grandit alors dans une petite ville reculée et pourtant si proche de Londres. Son père y tenait un élevage de chevaux, des chevaux de sport et de qualité, bien que celui-ci ne soit pas d’une renommée extraordinaire. A à peine 5 ans, le petit tenait donc parfaitement à cheval. Il était encore bien loin de l’équitation parfaite, mais pour son jeune âge, il se débrouillait avec brio. Son meilleur ami était un petit hongre, un poney réformé de la compétition, un poney nommé Andy. Ils étaient inséparables. Et quand commença la solarisation, Mickaël se montra un élève discret et peu attentif, un élève rêveur, les yeux rivés sur la grosse horloge de l’église qu’il voyait par la fenêtre. Il n’attendait qu’une seule et unique chose… Que sonne 4h pour enfin aller retrouver son ami. Son petit cœur se soulevait à mesure que les aiguilles se rapprochaient, et lorsque enfin la sonnerie teinter mélodieusement à ses oreilles, il courait rejoindre Andy. Malgré son jeune âge, il passait des heures à simplement le brosser, des heures à lui parler et à lui donner de la paille fraîche, des heures à le balader en licol. Mais, l’hongre était vieux, et sa carrière de compétiteur l’avait affaiblie… Le 20 août 1994, Andy s’éteint doucement, à mesure que le soleil disparaissait derrière l’horizon… Mickaël était alors âgé de 7 ans. Douloureuse épreuve pour un petit garçon de cet âge qui n’a toujours eu pour meilleur ami que ce petit cheval. Il eu beaucoup de mal à s’en remettre, refusant d’aller à l’élevage avec son père, de peur de voir son box vide… Mais la douleur devint moins sévère avec le temps, bien que le petit hongre qui lui a tout appris soit toujours là, dans une place profonde et bien gardée de son cœur. Mickaël se remit donc à cheval, montant maintenant les étalons et les juments les plus ‘faciles’, ceux qui n’avaient pas trop le sang chaud, ceux qui avaient un peu de métier. Il commença à prendre de l’assurance, son assiette se faisant plus souple, ses gestes plus précis.
Mais la douceur et la facilité de cette vie furent de bien courte durée. A ses 9 ans, sa mère s’éteint suite à une maladie mystérieuse, le plongeant lui et son père dans un deuil absolu. Elle était si gentille, si fraîche et si compréhensive … Maintenant, ils n’étaient que tous les deux, sans elle pour les soutenir avec les mots qu’elle trouvaient toujours…Cela allait être dur … Mais Mickaël était un battant, et la mort de sa mère le rendit un peu plus froid encore à l’égard des autres. Maintenant il n’avait plus qu’un but dans la vie : les chevaux.
Bientôt, il commença à sortir en concours avec son père, montant n’importe quel cheval de l’élevage, devenant sans mal un cavalier confirmé du haut de ses 12 ans et se classant souvent avec brio. Et bien que son point fort et sa passion soit le dressage, il sortait facilement dans toutes disciplines classiques. La vie continua alors sur cette lancée. L’élevage, faire les box, préparer l‘arriver des nouveaux poulain, puis le débourrage, le dressage et enfin la sortie en compétition avant la vente. Le travail était dur et pénible, mais il aimait ça, c’était sa seule raison de vivre, la seule chose qui rythmait son cœur et ses nuits. Bien vite, il devint un fort et beau jeune homme. Son corps développé attira bien vite quelques regards vagabonds et envieux, bien qu’il ne parlait à quasiment personne, à par deux ou trois amis qui lui était proches et chers. Des amis qui comprenait sa passion et son caractère, des amis qui le prenait comme il était.
La vie continua donc sur ce rythme jusqu’à ses 16 ans. Il décida de partir, avec l’accord de son père, sachant qu’ici, il n’apprendrait pas tout ce qu’il désirait apprendre. Il partit dans quelques pays d’Europe, notamment la France et l’Allemagne où il accentua son apprentissage de l’équitation. Ces années furent remplies de soirées entre amis, de bons temps et de travail pour atteindre la perfection à cheval. A sa majorité, il passa son monitorat, et commença à donner quelques cours dans des centres équestres français, pour avoir de l’argent, pour pouvoir vivre correctement.
Mais un matin, alors qu’il allait comme tout les matins depuis 3 mois au centre équestre pour travailler, la une d’un journal lui tapa à l’œil. Celui-ci mentionnait une archipel nommée Freedom Creek, une archipel longtemps laissé à l’abandon pour les choses mystérieuses qui s’y passe. Une jeune femme, nommée Alysson ainsi que 3 autres personnes allait ouvrir 3 académies en compétitions les unes avec les autres, sur cet archipel. Mick se documenta un peu, trouvant cette nouvelle plutôt intéressante et finit par découvrir qu’il fallait à ces académies des professeurs. Il envoya donc sa candidature et quelques temps après, il reçu un coup de fil de la directrice. A mesure qu’ils parlaient, il savait qu’il était pris, bien que l’académie dans laquelle il allait enseigner était encore indécise. Mais une autre nouvelle lui teinta aux oreilles. La directrice comptait fortement sur des gens pour ouvrir différents élevages et ainsi proposer leurs produits aux élèves de Freedom Creek. Il sauta alors sue l’occasion et lui raconta son passé d’éleveur, sa connaissance et son savoir à ce sujet ainsi que son désir d’en posséder un. Cela fut vite conclut, il aurait un terrain pour ouvrir son élevage et il enseignerait le dressage. Ses valises furent bientôt faites et il prit le chemin de Freedom Creek.

VI Autres

Nom de la personne choisie en avatar: Jesse Metcalfe
Comment avez vous connu le forum : Depuis la Bda
Evalué votre niveau de RP sur une échelle de 1 à 10 : 7.5/ 1O .
Connexions sur le forum: 5/ 7jrs sauf exceptions (exemple : trop de travail, punitions…)
Fille ou garçon : Filleeuuhhh
Libre à vous.. Euuhh na.. ah si, fait une demande pour être prof de dressage + dirigeant de l’élevage de chevaux de dressage

VII Exemple de Message

Mickaël avait embarqué sur le bateau à l’aube. Le soleil caressait alors le ciel de ses couleurs enchanteresses, et embaumait la côte d’une odeur particulièrement agréable. Ses bagages avaient étaient emportés et il était monté serein de la bâtisse flottante. Les moteurs s’étaient alors mis à vrombir sourdement et le bateau s’était mis en marche. La destination ? Toutes les îles des environs et le dernier arrêt n’était autre que Freedom Creek. Allait savoir pourquoi, il était le seul à posséder cette destination. L’eau était calme et ballottait à un rythme lent et langoureux le navire qui fendait les flots de son crâne ciselé. Le ciel dégagé offrait aux voyageur une vue imprenable sur l’immensité de sa couleur bleue, celle-ci semblant devenir plus claire à mesure qu’ils s’éloignaient de la côte. Le soleil maintenant entièrement levé exposé son corps luminescent et réchauffait de ses rayons le plancher du bateau. Le regard de Mick’ se posa alors sur les flots qui s’étendaient à perte de vue. De tous les côtés, l’eau avait pris place. Plus de terre, seulement cette immensité d’un bleu profond et pour certain dangereux sur lequel il glissait avec une facilité presque malsaine. Le voyage dura quelques heures. Des heures ou les arrêts dans différents ports se succédaient, des arrêts qui vidaient petit à petit le bateau de ses occupants. Et bientôt, sans qu’il n’y fasse vraiment attention, Mickaël était le sol à occuper cette bicoque. Son regard se perdait sur les flots alors que son esprit, lui, s’envolait avec une légèreté fascinante vers ses rêves, vers la nouvelle vie qui l’attendait sur Freedom Creek, vers les chevaux qu’il avait acheté pour l’élevage mais qu’il n’avait pas encore vu … A par Pure Diamond, un étalon qu’il avait vu naître dans l’élevage de son père et qu’il avait débourré. Il l’avait donc racheté à son père, persuadé qu’il ferait de bons produits.

Enfin, le bateau s’arrêta sur le petit port de Freedom Creek. On descendit avec rapidité ses baguages, les laissant ainsi sur le pont alors que lui entreprenait de descendre à son tour de bateau. Son corps tout entier sembla le remercier d’être enfin sur la terre ferme. Chacun de ses pas faisait frémir dangereusement le pont. Son regard se posa alors su l’immensité de l’île. Ou du moins ce qu’il pouvait en voir. Une longue route semblait découper l’île de tout son long et la végétation s’étendait à perte de vue. C’était magnifique. Une alliance entre le vert végétal et le gris foncé et mystérieux de la roche usée et vieillit par les années. Un petit sourire se dessina sur ses lèvres alors qu’un taxi venait de s’arrêter. Sans un mot de plus, il pris ses valises qui était nombreuses, plus par le matériel d’équitation que par les vêtements. Nul besoin de dire au chauffeur ou aller, il le savait très bien. La voiture démarra en trombe et commença d’avancer tranquillement. Cette grande route traversait la forêt, les montagnes… Tout n’était que nature et calme. Chose bien étonnante pour un jeune homme habitué depuis peu aux grandes villes. Enfin, ils traversèrent une ville, jolie d’ailleurs. Haute en couleur et en décoration, respectant à merveille le cadre où elle était implantée. Et bientôt ils s’arrêtèrent devant une grande bâtisse. Le centre administratif de Freedom Creek. Le point d’arriver de tous ceux qui venaient ici. Mickaël paya le chauffeur en le remerciant et descendit de l’auto, ses baguages sous le bras. Il s’avança alors sur l’allée de gravions qui crissait sous ses chaussures. La grande porte de bois semblait le regarder de sa sagesse centenaire alors que les pierres vieillies le scrutaient comme on scrute un étranger. Il poussa alors la porte, comme cela était indiqué sur celle-ci. Un nouveau monde s’ouvrait à lui…